Gautama Buddha/fr: Difference between revisions

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'''Gautama Buddha''', the “Compassionate One,” holds the office of [[Lord of the World]] (referred to as “God of the Earth” in [[Book of Revelation|Revelation]] 11:4), hierarch of the [[etheric retreat]] at [[Shamballa]] (over the Gobi desert), where he sustains the [[threefold flame]] of life for the evolutions of Earth. Gautama (who was embodied as Siddhartha Gautama c. 563 <small>B</small>.<small>C</small>.), is the great teacher of enlightenment through the soul’s mastery of the Ten Perfections, the [[Four Noble Truths]], and the [[Eightfold Path]], and sponsor of [[Summit University]] and of the mission of the [[Mother of the Flame]] to carry the torch of illumination for the age.
'''Gautama Bouddha''', le « Compatissant », occupe la fonction de [[Special:MyLanguage/Lord of the World|Seigneur du Monde]] (appelé « Dieu de la Terre » dans [[Special:MyLanguage/Book of Revelation|Apocalypse]] 11:4), hiérarque de la [[Special:MyLanguage/etheric retreat|retraite éthérique]] à [[Special:MyLanguage/Shamballa|Shamballa]] (au-dessus du désert de Gobi), où il entretient la [[Special:MyLanguage/threefold flame|triple flamme]] de vie pour les évolutions de la Terre. Gautama (qui fut incarné sous la forme de Siddhartha Gautama vers 563 <small>J</small>.<small>C</small>.), est le grand enseignant de l'illumination par la maîtrise par l'âme des Dix Perfections, des [[Special:MyLanguage/Four Noble Truths|Quatre Nobles Vérités]] et du [[Special:MyLanguage/Eightfold Path|Sentier Octuple]], et le parrain de [[Special:MyLanguage/Summit University|Summit University]] et de la mission de la [[Special:MyLanguage/Mother of the Flame|Mère de la Flamme]] de porter le flambeau de l'illumination pour l'ère.


Gautama arriva à une époque où l'hindouisme était dans son pire état de décadence. La prêtrise était impliquée dans le favoritisme et gardait les grands secrets, les vrais mystères de Dieu, loin du peuple, maintenant ainsi les masses dans l'ignorance. Le système des castes était devenu un moyen d'emprisonnement de l'âme au lieu d'un moyen de libération par le dharma. Né sous le nom de prince Siddhartha, il a quitté le palais, le pouvoir, sa femme et son fils pour atteindre l'illumination qui lui permettrait de rendre au peuple ce que les intrus lui avaient pris.
Gautama arriva à une époque où l'hindouisme était dans son pire état de décadence. La prêtrise était impliquée dans le favoritisme et gardait les grands secrets, les vrais mystères de Dieu, loin du peuple, maintenant ainsi les masses dans l'ignorance. Le système des castes était devenu un moyen d'emprisonnement de l'âme au lieu d'un moyen de libération par le dharma. Né sous le nom de prince Siddhartha, il a quitté le palais, le pouvoir, sa femme et son fils pour atteindre l'illumination qui lui permettrait de rendre au peuple ce que les intrus lui avaient pris.
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Le cinquième jour suivant la naissance, 108 brahmanes sont invités à une cérémonie de remise des noms au palais. Le roi convoque huit des plus érudits d'entre eux pour "lire" le destin de l'enfant en interprétant ses marques corporelles et ses caractéristiques physiques.  
Le cinquième jour suivant la naissance, 108 brahmanes sont invités à une cérémonie de remise des noms au palais. Le roi convoque huit des plus érudits d'entre eux pour "lire" le destin de l'enfant en interprétant ses marques corporelles et ses caractéristiques physiques.  


Sept d'entre eux convinrent que s'il restait chez lui, il deviendrait un roi universel, unifiant l'Inde, mais que s'il partait, il deviendrait un bouddha et enlèverait le voile de l'ignorance sur le monde. Kondañña, le huitième et le plus jeune du groupe, déclara qu'il deviendrait définitivement un bouddha, renonçant au monde après avoir vu quatre signes - un vieil homme, un homme malade, un homme mort et un saint homme.  
Sept d'entre eux convinrent que s'il restait chez lui, il deviendrait un roi universel, unifiant l'Inde, mais que s'il partait, il deviendrait un bouddha et enlèverait le voile de l'ignorance sur le monde. Kondañña, le huitième et le plus jeune du groupe, déclara qu'il deviendrait définitivement un bouddha, renonçant au monde après avoir vu quatre signes un vieil homme, un homme malade, un homme mort et un saint homme.  


L'enfant fut nommé Siddhartha, ou "Celui dont le but est atteint". Sept jours après sa naissance, sa mère décéda et il fut élevé par sa sœur Mahaprajapati, qui devint plus tard l'une de ses premières disciples féminines.  
L'enfant fut nommé Siddhartha, ou "Celui dont le but est atteint". Sept jours après sa naissance, sa mère décéda et il fut élevé par sa sœur Mahaprajapati, qui devint plus tard l'une de ses premières disciples féminines.  
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Dans l'"Anguttara Nikāya" (un texte canonique), Gautama décrit son éducation avec ses propres mots :  
Dans l'"Anguttara Nikāya" (un texte canonique), Gautama décrit son éducation avec ses propres mots :  


<blockquote>On a pris soin de moi avec tendresse,... suprêmement bien, infiniment bien. Au palais de mon père, des bassins de lotus ont été construits pour moi, dans un endroit pour les fleurs de lotus bleues, dans un endroit pour les fleurs de lotus blanches, et dans un endroit pour les fleurs de lotus rouges, fleurissant pour mon saké..... Jour et nuit, une ombrelle blanche me couvrait, afin que je ne sois pas troublé par le froid, la chaleur, la poussière, la paille ou la rosée. J'habitais trois palais,... dans l'un, pendant le froid, dans l'autre, pendant l'été, et dans le troisième, pendant la saison des pluies. Dans le palais de la saison des pluies, entouré de musiciens, de chanteurs et de danseuses, pendant quatre mois, je ne suis pas descendu du palais....<ref>Helena Roerich, ''Foundations of Buddhism'' (New York : Agni Yoga Society, 1971), p. 7.</ref></blockquote>  
<blockquote>On a pris soin de moi avec tendresse,... suprêmement bien, infiniment bien. Au palais de mon père, des bassins de lotus ont été construits pour moi, dans un endroit pour les fleurs de lotus bleues, dans un endroit pour les fleurs de lotus blanches, et dans un endroit pour les fleurs de lotus rouges, fleurissant pour mon saké.... Jour et nuit, une ombrelle blanche me couvrait, afin que je ne sois pas troublé par le froid, la chaleur, la poussière, la paille ou la rosée. J'habitais trois palais,... dans l'un, pendant le froid, dans l'autre, pendant l'été, et dans le troisième, pendant la saison des pluies. Dans le palais de la saison des pluies, entouré de musiciens, de chanteurs et de danseuses, pendant quatre mois, je ne suis pas descendu du palais....<ref>Helena Roerich, ''Foundations of Buddhism (Les fondements du bouddhisme)'' (New York : Agni Yoga Society, 1971), p. 7.</ref></blockquote>  


À seize ans, après avoir prouvé son habileté dans un concours d'armes, le prince Siddhartha épousa sa belle cousine Yasodhara. Il devient bientôt pensif et préoccupé, mais le tournant de sa vie ne se produit qu'à l'âge de vingt-neuf ans, lorsqu'il entreprend quatre voyages qui lui présentent tour à tour les quatre sites de passage.  
À seize ans, après avoir prouvé son habileté dans un concours d'armes, le prince Siddhartha épousa sa belle cousine Yasodhara. Il devient bientôt pensif et préoccupé, mais le tournant de sa vie ne se produit qu'à l'âge de vingt-neuf ans, lorsqu'il entreprend quatre voyages qui lui présentent tour à tour les quatre sites de passage.  
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C'est là que, pendant près de six ans, Gautama s'adonna à de sévères austérités, qui sont consignées dans ses propres mots dans le ''Majjhima Nikāya'' :  
C'est là que, pendant près de six ans, Gautama s'adonna à de sévères austérités, qui sont consignées dans ses propres mots dans le ''Majjhima Nikāya'' :  


<blockquote>En raison de ce manque de nourriture, tous mes membres devinrent comme des lianes flétries aux articulations nouées ;... les pupilles de mes yeux apparurent enfoncées dans leurs orbites comme l'eau apparaît brillante au fond d'un puits profond ;... la peau de mon ventre en vint à s'attacher à mon os dorsal....<ref>''Encyclopaedia Britannica'', 15e édition, s.v. "Buddha."</ref></blockquote>
<blockquote>En raison de ce manque de nourriture, tous mes membres devinrent comme des lianes flétries aux articulations nouées ;... les pupilles de mes yeux apparurent enfoncées dans leurs orbites comme l'eau apparaît brillante au fond d'un puits profond ;... la peau de mon ventre en vint à s'attacher à mon os dorsal....<ref>''Encyclopaedia Britannica'', 15e édition, "Bouddha."</ref></blockquote>


As a consequence of these severe bodily mortifications, Gautama became so weak that he once fainted and was believed to be dead. Some accounts describe how he was found collapsed by a shepherd boy who restored him with drops of warm milk. Others say it was the devas, or gods, who revived him. Realizing the futility of asceticism, Gautama abandoned his austerities to seek his own path of enlightenment—whereupon his five companions rejected and deserted him.  
Suite à ces terribles mortifications corporelles, Gautama devint si faible qu'il s'évanouit un jour et fut cru mort. Certains récits décrivent comment un berger le trouva effondré et le guérit avec des gouttes de lait chaud. D'autres affirment que ce furent les devas, ou dieux, qui le ranimèrent. Conscient de la futilité de l'ascétisme, Gautama abandonna ses austérités pour rechercher sa propre voie vers l'illumination, sur quoi ses cinq compagnons le rejetèrent et l'abandonnèrent.  


== The Bo tree ==
<span id="The_Bo_tree"></span>
== L'arbre Bo ==


[[File:675px-Mahabodhitemple.jpg|thumb|The Mahabodhi temple in Bodhgaya, India. The tree under which the Buddha attained enlightenment is on the left.]]
[[File:675px-Mahabodhitemple.jpg|thumb|Le temple de la Mahabodhi à Bodhgaya, en Inde. L'arbre sous lequel le Bouddha a atteint l'illumination se trouve à gauche.]]


One day Sujata, a villager’s daughter, fed him a rich rice milk—a “meal so wondrous ... that our Lord felt strength and life return as though the nights of watching and the days of fast had passed in dream.<ref>Edwin Arnold, ''The Light of Asia'' (London: Kegan Paul, Trench, Trubner & Co., 1930), p. 96.</ref> And then he set out alone for the Bo tree (abbreviation for bodhi, or enlightenment) at a place now called Buddh Gaya, or Bodh Gaya, where he vowed to remain until fully illumined. Hence, it has become known as the Immovable Spot.  
Un jour, Sujata, la fille d'un villageois, le nourrit d'un riche lait de riz — "un repas si merveilleux ... que notre Seigneur sentit la force et la vie revenir comme si les nuits de veille et les jours de jeûne s'étaient écoulés en rêve."<ref>Edwin Arnold, ''The Light of Asia (La lumière de l'Asie)'' (Londres : Kegan Paul, Trench, Trubner & Co, 1930), p. 96.</ref> Il se mit alors en route, seul, vers l'arbre Bo (abréviation de bodhi, ou illumination) à un endroit aujourd'hui appelé Buddh Gaya, ou Bodh Gaya, où il fit le vœu de rester jusqu'à ce qu'il soit pleinement illuminé. C'est pourquoi ce lieu est connu sous le nom de "tache immuable".  


At that point, [[Mara]], the Evil One, attempted to prevent his enlightenment and confronted him with temptations much in the same manner that [[Satan]] tested [[Jesus]] during his fasting in the wilderness.  
À ce moment-là, [[Special:MyLanguage/Mara|Mara]], le Malin, tenta d'empêcher son illumination et le confronta à des tentations de la même manière que [[Special:MyLanguage/Satan|Satan]] testa [[Special:MyLanguage/Jesus|Jésus]] lors de son jeûne dans le désert.  


The ''Dhammapada'' records the words of Mara, as she assailed Gautama: “Lean, suffering, ill-favored man, Live! Death is your neighbor. Death has a thousand hands, you have only two. Live! Live and do good, live holy, and taste reward. Why do you struggle? Hard is struggle, hard to struggle all the time.
Le ''Dhammapada'' rapporte les paroles de Mara, alors qu'elle assaillait Gautama : "Homme maigre, souffrant, malchanceux, vis ! La mort est ta voisine. La mort a mille mains, tu n'en as que deux. Vis ! Vis et fais le bien, vis saintement et goûte la récompense. Pourquoi luttes-tu ? C'est difficile de lutter, c'est difficile de lutter tout le temps".  


Unmoved, he sat under the Bo tree while Mara continued her attack—first in the form of desire, parading voluptuous goddesses and dancing girls before him, then in the guise of death, assailing him with hurricanes, torrential rains, flaming rocks, boiling mud, fierce soldiers and beasts—and finally darkness. Yet still, Gautama remained unmoved.
Inébranlable, il s'assit sous l'arbre Bo tandis que Mara poursuivait son attaque — d'abord sous la forme du désir, faisant défiler devant lui des déesses voluptueuses et des danseuses, puis sous l'apparence de la mort, l'assaillant d'ouragans, de pluies torrentielles, de rochers enflammés, de boue bouillante, de soldats et de bêtes féroces — et enfin de l'obscurité. Pourtant, Gautama restait impassible


As a last resort, the temptress challenged his right to be doing what he was doing. Siddhartha then tapped the earth,<ref>with the “earth-touching mudra”—left hand upturned in lap, right hand pointed downward, touching earth.</ref> and the earth thundered her answer: “I bear you witness!” All the hosts of the Lord and the elemental beings responded and acclaimed his right to pursue the enlightenment of the Buddha—whereupon Mara fled.  
En dernier recours, la tentatrice lui a contesté le droit de faire ce qu'il faisait. Siddhartha tapa alors sur la terre,<ref>avec le "mudra touchant la terre" — la main gauche retournée sur les genoux, la main droite pointée vers le bas, touchant la terre.</ref> et la terre tonna sa réponse : "Je vous en rends témoignage". Tous les hôtes du Seigneur et les êtres élémentaires répondirent et acclamèrent son droit à poursuivre l'éveil du Bouddha, après quoi Mara s'enfuit.  


Having defeated Mara, Gautama spent the rest of the night in deep meditation under the tree, recalling his former embodiments, attaining the “superhuman divine eye” (the ability to see the passing away and rebirth of beings), and realizing the Four Noble Truths. In his own recorded words: “Ignorance was dispelled, knowledge arose. Darkness was dispelled, light arose.<ref>Edward J. Thomas, ''The Life of Buddha as Legend and History'' (New York: Alfred A. Knopf, 1927), pp. 66-68, quoted in Clarence H. Hamilton, ed., ''Buddhism: A Religion of Infinite Compassion'' (New York: The Liberal Arts Press, 1952), pp. 22–23.</ref>  
Après avoir vaincu Mara, Gautama passa le reste de la nuit en profonde méditation sous l'arbre, se remémorant ses anciennes incarnations, atteignant "l'œil divin surhumain" (la capacité de voir la disparition et la renaissance des êtres), et réalisant les Quatre Nobles Vérités. Selon ses propres mots : "L'ignorance a été dissipée, la connaissance est apparue. Les ténèbres ont été dissipées, la lumière est apparue."<ref>Edward J. Thomas, ''The Life of Buddha as Legend and History (La vie du Bouddha en tant que légende et histoire)'' (New York : Alfred A. Knopf, 1927), pp. 66-68, cité dans Clarence H. Hamilton, ed, ''Buddhism : A Religion of Infinite Compassion (Le bouddhisme : Une religion de compassion infinie)'' (New York : The Liberal Arts Press, 1952), pp. 22-23.</ref>  


Thus, he attained Enlightenment, or the Awakening, during the night of the full-moon day of the month of May, about the year 528 <small>B</small>.<small>C</small>. His being was transformed, and he became the Buddha.  
Il atteignit ainsi l'Éveil, ou l'Illumination, durant la nuit de pleine lune du mois de mai, vers l'an 528 av. J.-C. Son être fut transformé et il devint le Bouddha.  


<blockquote>The event was of cosmic import. All created things filled the morning air with their rejoicings and the earth quaked six ways with wonder. Ten thousand galaxies shuddered in awe as lotuses bloomed on every tree, turning the entire universe into “a bouquet of flowers sent whirling through the air.”<ref>Huston Smith, ''The Religions of Man'' (New York: Harper & Row, Harper Colophon Books, 1958), p. 84.</ref></blockquote>  
<blockquote>L'événement était d'une importance cosmique. Toutes les choses créées ont rempli l'air du matin de leurs réjouissances et la terre a tremblé de six façons avec émerveillement. Dix mille galaxies frémirent d'admiration tandis que des lotus fleurissaient sur chaque arbre, transformant l'univers entier en "un bouquet de fleurs envoyées en tourbillonnant dans les airs"<ref>Huston Smith, ''The Religions of Man (Les religions de l'homme)'' (New York : Harper & Row, Harper Colophon Books, 1958), p. 84.</ref></blockquote>  


For a total of forty-nine days he was deep in rapture, after which he again turned his attention to the world. He found Mara waiting for him with one last temptation: “How can your experience be translated into words? Return to Nirvana. Do not try to deliver your message to the world, for no one will comprehend it. Remain in bliss!” But Buddha replied: “There will be some who will understand,” and Mara vanished from his life forever.  
Pendant quarante-neuf jours au total, il fut plongé dans le ravissement, après quoi il se tourna à nouveau vers le monde. Il trouva Mara qui l'attendait avec une dernière tentation : "Comment traduire ton expérience en mots ? Retourne au Nirvana. N'essaie pas de transmettre ton message au monde, car personne ne le comprendra. Reste dans la félicité !" Mais Bouddha répondit : "Il y en aura qui comprendront" et Mara disparut de sa vie pour toujours.  


== Teaching ==
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== Enseignement ==




[[File:1200px-Dhamekh Stupa, where the Buddha gave the first sermon on the Four Noble Truths and the Eightfold Path to his five disciples, Sarnath.jpg|thumb|upright=1.2|Sarnath, India, the [[stupa]] marking the site where Gautama preached his first sermon]]
[[File:1200px-Dhamekh Stupa, where the Buddha gave the first sermon on the Four Noble Truths and the Eightfold Path to his five disciples, Sarnath.jpg|thumb|upright=1.2|Sarnath, Inde, le [[Special:MyLanguage/stupa|stupa]] marquant le site Gautama a prêché son premier sermon]]


Contemplating whom he should first teach, he decided to return to the five ascetics who had left him. He began a journey of over one hundred miles to Benares and delivered to his old companions his first sermon, known as the ''Dhammacakkappavattana-sutta'', or “Setting in Motion the Wheel of Truth.
Se demandant à qui il devait d'abord enseigner, il décida de retourner auprès des cinq ascètes qui l'avaient quitté. Il entreprit un voyage de plus de cent kilomètres jusqu'à Bénarès et prononça devant ses anciens compagnons son premier sermon, connu sous le nom de "Dhammacakkappavattana-sutta", ou "Mise en mouvement de la roue de la vérité".  


At the end of the sermon, in which he revealed the key discovery of his quest—the Four Noble Truths, the Eightfold Path, and the Middle Way—he accepted the five monks as the first members of his order. Kondañña was the first to grasp the teaching.  
À la fin du sermon, dans lequel il révéla la découverte clé de sa quête — les Quatre Nobles Vérités, l'Octuple Sentier et la Voie du Milieu — il accepta les cinq moines comme premiers membres de son ordre. Kondañña fut le premier à saisir l'enseignement.  


For forty-five years, Gautama walked the dusty roads of India, preaching the ''Dhamma'' (universal Doctrine), which led to the founding of Buddhism. He established the ''[[sangha]]'' (community) that soon numbered over twelve hundred devotees, eventually including his entire family—his father, aunt, wife, and son. When the people questioned him as to his identity, he answered, “I am awake”—hence, the Buddha, meaning “Enlightened One” or “Awakened One.
Pendant quarante-cinq ans, Gautama a parcouru les routes poussiéreuses de l'Inde, prêchant le "Dhamma" (doctrine universelle), qui a conduit à la fondation du bouddhisme. Il établit la ''[[Special:MyLanguage/sangha|sangha]]'' (communauté) qui compte bientôt plus de mille deux cents fidèles, dont toute sa famille — son père, sa tante, sa femme et son fils. Lorsque les gens l'interrogèrent sur son identité, il répondit : "Je suis éveillé" — d'où le nom de Bouddha, qui signifie "l'Éveillé" ou "l'Éveillant".  


== Passing ==
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== Passage ==


At the age of eighty, Gautama became seriously ill and almost died, but revived himself, thinking it was not right to die without preparing his disciples. By sheer determination, he recovered and instructed [[Ananda]], his cousin and close disciple, that the order should live by making themselves an island—by becoming their own refuge and making the ''Dhamma'' their island, their refuge forever.  
À l'âge de quatre-vingts ans, Gautama tomba gravement malade et faillit mourir, mais il se ranima, pensant qu'il n'était pas juste de mourir sans préparer ses disciples. À force de détermination, il se rétablit et ordonna à [[Special:MyLanguage/Ananda|Ananda]], son cousin et proche disciple, que l'ordre devrait vivre en se faisant une île, en devenant son propre refuge et en faisant du ''Dhamma'' son île, son refuge pour toujours.  


After announcing that he would die in three months, he traveled through several villages and then stayed with Cunda, the goldsmith, one of his devoted followers. According to generally accepted tradition, Cunda invited Gautama to partake of ''sukara-maddava''—a dish he had prepared unknowingly with poisoned mushrooms. After the meal, Gautama became violently ill, but bore his pain without complaint.  
Après avoir annoncé qu'il mourrait dans trois mois, il traversa plusieurs villages, puis séjourna chez Cunda, l'orfèvre, l'un de ses fidèles. Selon la tradition, Cunda invita Gautama à déguster le "sukara-maddava", un plat qu'il avait préparé à son insu avec des champignons empoisonnés. Après le repas, Gautama tomba violemment malade, mais supporta sa douleur sans se plaindre.  


His only concern was to console Cunda, who might feel responsible for his death. And thus, he compassionately asked Ananda to tell Cunda that of all the meals he had eaten, only two stood out as special blessings—one was the meal served by Sujata before his enlightenment, and the other was the food from Cunda which opened the gates to his [[transition]].  
Son seul souci était de consoler Cunda, qui pouvait se sentir responsable de sa mort. Il demanda donc avec compassion à Ananda de dire à Cunda que de tous les repas qu'il avait mangés, seuls deux se distinguaient comme des bénédictions spéciales — le repas servi par Sujata avant son illumination, et la nourriture de Cunda qui ouvrit les portes de sa [[Special:MyLanguage/transition|transition]].  


He passed during the full-moon of May, c. 483 <small>B</small>.<small>C</small>., after again advising Ananda that the ''Dhamma''—the Truth—must be his master and reminding the monks of the transiency of all conditioned things.  
Il mourut pendant la pleine lune de mai, vers 483 av. J.-C., après avoir de nouveau conseillé à Ananda que le « Dhamma » – la Vérité – devait être son maître et avoir rappelé aux moines le caractère transitoire de toutes les choses conditionnées.  


== Legacy ==
<span id="Legacy"></span>
== Héritage ==


Following the passing of Gautama, Buddhism began to develop in two major directions, leading to the establishment of the Hinayana (“little vehicle”) and the Mahayana (“great vehicle”) schools of Buddhism, from which many further subgroups evolved.  
Après la disparition de Gautama, le bouddhisme a commencé à se développer dans deux directions principales, conduisant à l'établissement des écoles hinayana ("petit véhicule") et mahayana ("grand véhicule") du bouddhisme, à partir desquelles de nombreux autres sous-groupes ont évolué.  


Adherents of the Hinayana school believe their teachings represent the original Buddhist doctrine taught by Gautama, and therefore refer to their path as the Theravada, or “Way of the Elders.
Les adeptes de l'école Hinayana pensent que leurs enseignements représentent la doctrine bouddhiste originale enseignée par Gautama, et se réfèrent donc à leur voie comme le Theravada, ou "Voie des Anciens".  


The traditional Theravadin outlook centers around the monastic way of life and emphasizes the necessity for self-sacrifice and individual enlightenment in order to help others. Their goal is to become an [[arhat]]—perfected disciple—and enter [[Nirvana]].  
La conception traditionnelle du Theravadin est centrée sur le mode de vie monastique et met l'accent sur la nécessité du sacrifice de soi et de l'illumination individuelle afin d'aider les autres. Leur but est de devenir un [[Special:MyLanguage/arhat|arhat]] — disciple parfait — et d'entrer dans le [[Special:MyLanguage/Nirvana|Nirvana]].  


The Mahayanists, who believe that the Theravadins’ strict observance of precepts departs from the true spirit of the Buddha, concentrate more on emulating the Buddha’s life, stressing good works and compassion toward others in the process of gaining enlightenment. The Theravadins, however, claim that the Mahayanists have polluted the pure stream of Gautama’s teaching by incorporating more liberal doctrines and interpretations.   
Les mahayanistes, qui estiment que la stricte observance des préceptes par les theravadins s'écarte du véritable esprit du Bouddha, se concentrent davantage sur l'imitation de la vie du Bouddha, en mettant l'accent sur les bonnes œuvres et la compassion envers les autres dans le processus d'obtention de l'illumination. Les Theravadins, quant à eux, affirment que les Mahayanistes ont pollué le courant pur de l'enseignement de Gautama en y incorporant des doctrines et des interprétations plus libérales.   


The Mahayanists consider their school to be the “greater vehicle,” as it provides more for the layman. Their ideal is to become a [[bodhisattva]]—one who attains Nirvana but voluntarily returns to the world to assist others in obtaining the same goal.
Les mahayanistes considèrent leur école comme le "plus grand véhicule", car elle offre davantage au profane. Leur idéal est de devenir un [[Special:MyLanguage/bodhisattva|bodhisattva]] — quelqu'un qui atteint le Nirvana mais retourne volontairement dans le monde pour aider les autres à atteindre le même but.


== Gautama’s work today ==
<span id="Gautama’s_work_today"></span>
== L'œuvre de Gautama aujourd'hui ==


Gautama Buddha was the first initiate to serve under [[Sanat Kumara]], hence the one chosen to succeed him in the office of Lord of the World. On January 1, 1956, Sanat Kumara placed his [[mantle]] on Lord Gautama, whereupon the Chela par excellence of the Great Guru also became the hierarch of Shamballa.   
Gautama Bouddha fut le premier initié à servir sous les ordres de [[Special:MyLanguage/Sanat Kumara|Sanat Kumara]], et donc celui qui fut choisi pour lui succéder dans la fonction de Seigneur du Monde. Le 1er janvier 1956, Sanat Kumara déposa son [[Special:MyLanguage/mantle|manteau]] sur le Seigneur Gautama, après quoi le Chela par excellence du Grand Gourou devint également le hiérarque de Shamballa.   


Gautama Buddha today holds the office of Lord of the World (referred to as “God of the Earth” in Revelation 11:4). At inner levels, he sustains the threefold flame of life, the divine spark, for all children of God on earth.
Gautama Bouddha occupe aujourd'hui la fonction de Seigneur du Monde (appelé "Dieu de la Terre" dans Apocalypse 11:4). Au niveau intérieur, il entretient la triple flamme de vie, l'étincelle divine, pour tous les enfants de Dieu sur terre.


Speaking of the great service Lord Gautama renders to all life in his office as Lord of the World, [[Maitreya]] said on January 1, 1986:  
Parlant du grand service que le Seigneur Gautama rend à toute vie dans sa fonction de Seigneur du Monde, [[Special:MyLanguage/Maitreya|Maitreya]] déclara le 1er janvier 1986 :  


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The Lord of the World does sustain the threefold flame in the evolutions of earth by a filigree light extending from his heart. This, then, is the bypassing of the individual’s karma whereby there is so much blackness around the heart that the spiritual arteries or the crystal cord have been cut off.
Le Seigneur du Monde soutient la triple flamme dans les évolutions de la terre par une lumière filigrane qui part de son cœur. Il s'agit donc du contournement du karma de l'individu par lequel il y a tant de noirceur autour du cœur que les artères spirituelles ou le cordon de cristal ont été coupés.


The comparison of this is seen when the arteries in the physical body become so clogged with debris that the area of the flow of blood becomes greatly diminished until it becomes a point of insufficiency and the heart can no longer sustain life. This is comparable to what has happened on the astral plane.
La comparaison est faite lorsque les artères du corps physique sont tellement obstruées par des débris que la zone d'écoulement du sang est considérablement réduite jusqu'à devenir insuffisante et que le cœur ne peut plus maintenir la vie. Ceci est comparable à ce qui s'est passé sur le plan astral.


So Sanat Kumara came to earth to keep the flame of life. And so does Gautama Buddha keep this threefold flame at Shamballa, and he is a part of every living heart. Therefore, as the disciple approaches the Path, he understands that its goal is to come to the place where the threefold flame is developed enough here below within his own heart that indeed, with or without the filigree thread from the heart of Gautama Buddha, he is able to sustain life and soul and consciousness and the initiatic path.
Sanat Kumara est donc venu sur terre pour entretenir la flamme de la vie. De même, Gautama Bouddha entretient cette triple flamme à Shamballa, et il fait partie de chaque cœur vivant. Par conséquent, lorsque le disciple s'approche de la Voie, il comprend que son but est de parvenir à l'endroit où la triple flamme est suffisamment développée ici-bas dans son propre cœur pour que, avec ou sans le filigrane du cœur du Bouddha Gautama, il soit capable de maintenir la vie, l'âme, la conscience et le chemin initiatique.


Beloved ones, this step in itself is an accomplishment that few upon this planet have attained to. You have no idea how you would feel or be or behave if Gautama Buddha withdrew from you that support of the filigree thread and the momentum of his own heartbeat and threefold flame. Most people, especially the youth, do not take into consideration what is the source of the life that they experience in exuberance and joy.
Bien-aimés, cette étape est en soi un accomplissement que peu de gens sur cette planète ont atteint. Vous n'avez aucune idée de ce que vous ressentiriez, de ce que vous seriez ou de ce que vous feriez si Gautama Bouddha vous retirait le soutien du filigrane et l'élan des battements de son propre cœur et de sa triple flamme. La plupart des gens, en particulier les jeunes, ne prennent pas en considération la source de la vie qu'ils expérimentent dans l'exubérance et la joie.
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Of this gift, Gautama himself said on December 31, 1983:
De ce don, Gautama lui-même a dit le 31 décembre 1983 :


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I am very observant. I observe you by the contact of my flame through the thread-contact I maintain to the threefold flame of your heart—sustaining it as I do until you pass from the [[seat-of-the-soul chakra]] to the very heart of hearts [the [[secret chamber of the heart]]], and you yourself are able by attainment to sustain that flame and its burning in this octave.
Je suis très observateur. Je vous observe par le contact de ma flamme à travers le fil — contact que je maintiens avec la triple flamme de votre cœur — la soutenant comme je le fais jusqu'à ce que vous passiez du [[Special:MyLanguage/seat of the soul chakra|chakra du siège de l'âme]] au cœur même des cœurs [la [[Special:MyLanguage/secret chamber of the heart|chambre secrète du cœur]]], et que vous soyez vous-même capable, par accomplissement, de soutenir cette flamme et sa brûlure dans cette octave.


Did anyone here ever recall himself igniting his own threefold flame at birth? Has anyone here ever remembered tending its fire or keeping it burning? Beloved hearts, recognize that acts of love and valor and honor and selflessness surely contribute to this flame. But a higher power and a higher Source does keep that flame until you, yourself, are one with that higher power—your own [[Christ Self]].
Quelqu'un ici s'est-il déjà souvenu avoir allumé sa propre triple flamme à la naissance ? Quelqu'un ici s'est-il déjà souvenu d'avoir entretenu son feu ou de l'avoir maintenu allumé ? Cœurs bien-aimés, reconnaissez que les actes d'amour, de bravoure, d'honneur et d'altruisme contribuent sûrement à cette flamme. Mais une puissance et une source supérieures entretiennent cette flamme jusqu'à ce que vous ne fassiez plus qu'un avec cette puissance supérieure — votre propre [[Special:MyLanguage/Christ Self|Soi-Christ]].


Therefore, all receive the boost of my heart flame and impetus. And as that light passes through me from the Godhead, I therefore perceive many things about you and your everyday life that you might think beyond mention or notice of a Lord of the World, who must be, indeed, very busy.
Par conséquent, tous reçoivent l'impulsion de la flamme de mon cœur et de mon élan. Et comme cette lumière me traverse depuis la Divinité, je perçois beaucoup de choses sur vous et votre vie quotidienne que vous pourriez penser hors de portée d'un Seigneur du Monde, qui doit être, en effet, très occupé.


Well, indeed, I am! But I am never too busy to notice the elements of the Path presented by parents and in families and communities and in the schoolrooms of life everywhere. For I make it my business to see to it that some element of the path of initiation, moving toward the heart of Jesus and Maitreya, is a part of the life of every growing child.
Eh bien, en effet, je le suis ! Mais je ne suis jamais trop occupé pour remarquer les éléments du Chemin présentés par les parents, dans les familles et les communautés et dans les salles de classe partout dans le monde. Car je me fais un devoir de veiller à ce qu'un élément du chemin d'initiation, se dirigeant vers le cœur de Jésus et de Maitreya, fasse partie de la vie de chaque enfant qui grandit.
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== Retreats ==
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== Retraites ==


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Gautama Buddha is the sponsor of Summit University and the hierarch of Shamballa, the etheric retreat of the Lord of the World located over the Gobi Desert.  
Bouddha Gautama est le parrain de l'Université du Sommet et le hiérarque de Shamballa, la retraite éthérique du Seigneur du Monde située dans le désert de Gobi.  


In 1981, Gautama established an extension of this retreat, called the [[Western Shamballa]], in the etheric octave over the [[Heart of the Inner Retreat]] at the [[Royal Teton Ranch]].
En 1981, Gautama établit une extension de cette retraite, appelée [[Special:MyLanguage/Western Shamballa|Shamballa occidental]], dans l'octave éthérique au-dessus du [[Special:MyLanguage/Heart of the Inner Retreat|Cœur de la retraite intérieure]] au [[Special:MyLanguage/royal Teton Ranch|Royal Teton Ranch]].


Gautama Buddha’s [[keynote]] is “Moonlight and Roses.” The “Ode to Joy” from [[Beethoven]]’s Ninth Symphony also gives us direct attunement with the Lord of the World.
La [[Special:MyLanguage/keynote|note dominant]] de Gautama Bouddha est "Clair de lune et roses". L'"Ode à la joie" de la neuvième symphonie de [[Special:MyLanguage/Beethoven|Beethoven]] nous permet également de nous accorder directement avec le Seigneur du monde.


== See also ==
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== Voir aussi ==


[[Tathagata]]
[[Special:MyLanguage/Tathagata|Tathagata]]


== Sources ==
== Sources ==


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{{MTR}}, s.v. “Gautama Buddha.
{{MTR}}, “Gautama Buddha” (''Les maîtres et leurs retraites''), "Bouddha Gautama."


{{IP}}.
{{IP}} (''Perspectives intérieures'').


[[Category:Heavenly beings]]
[[Category:Les êtres célestes]]
[[Category:Messengers]]
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Gautama Bouddha, le « Compatissant », occupe la fonction de Seigneur du Monde (appelé « Dieu de la Terre » dans Apocalypse 11:4), hiérarque de la retraite éthérique à Shamballa (au-dessus du désert de Gobi), où il entretient la triple flamme de vie pour les évolutions de la Terre. Gautama (qui fut incarné sous la forme de Siddhartha Gautama vers 563 J.C.), est le grand enseignant de l'illumination par la maîtrise par l'âme des Dix Perfections, des Quatre Nobles Vérités et du Sentier Octuple, et le parrain de Summit University et de la mission de la Mère de la Flamme de porter le flambeau de l'illumination pour l'ère.

Gautama arriva à une époque où l'hindouisme était dans son pire état de décadence. La prêtrise était impliquée dans le favoritisme et gardait les grands secrets, les vrais mystères de Dieu, loin du peuple, maintenant ainsi les masses dans l'ignorance. Le système des castes était devenu un moyen d'emprisonnement de l'âme au lieu d'un moyen de libération par le dharma. Né sous le nom de prince Siddhartha, il a quitté le palais, le pouvoir, sa femme et son fils pour atteindre l'illumination qui lui permettrait de rendre au peuple ce que les intrus lui avaient pris.

Début de la vie

Le Bouddha Gautama est né Siddhartha Gautama dans le nord de l'Inde. Il était le fils du roi Suddhodana et de la reine Mahamaya, souverains du royaume de Sakya, et donc membre de la caste des Kshatriya (guerriers ou dirigeants).

D'anciens textes pali et des écritures bouddhistes rapportent qu'avant sa naissance, sa mère, Mahamaya, a rêvé qu'un bel éléphant blanc argenté entrait dans son ventre par le côté. Les brahmanes, appelés à interpréter le rêve, ont prédit la naissance d'un fils qui deviendrait soit un monarque universel, soit un bouddha.

Au cours des derniers jours de sa grossesse, la reine a entrepris un voyage à Devadaha pour rendre visite à ses parents, comme c'était la coutume en Inde. En chemin, elle s'est arrêtée avec ses serviteurs au parc de Lumbini et a attrapé une branche fleurie d'un arbre sal. C'est là, sous l'arbre en fleurs, que le Bouddha est né le jour de la pleine lune du mois de mai.

Le cinquième jour suivant la naissance, 108 brahmanes sont invités à une cérémonie de remise des noms au palais. Le roi convoque huit des plus érudits d'entre eux pour "lire" le destin de l'enfant en interprétant ses marques corporelles et ses caractéristiques physiques.

Sept d'entre eux convinrent que s'il restait chez lui, il deviendrait un roi universel, unifiant l'Inde, mais que s'il partait, il deviendrait un bouddha et enlèverait le voile de l'ignorance sur le monde. Kondañña, le huitième et le plus jeune du groupe, déclara qu'il deviendrait définitivement un bouddha, renonçant au monde après avoir vu quatre signes — un vieil homme, un homme malade, un homme mort et un saint homme.

L'enfant fut nommé Siddhartha, ou "Celui dont le but est atteint". Sept jours après sa naissance, sa mère décéda et il fut élevé par sa sœur Mahaprajapati, qui devint plus tard l'une de ses premières disciples féminines.

Le roi, inquiet des prédictions des brahmanes et de la possibilité de perdre son héritier, prend toutes les précautions pour mettre son fils à l'abri de la douleur et de la souffrance, l'entourant de tout le luxe imaginable, y compris trois palais et quarante mille danseuses.

Dans l'"Anguttara Nikāya" (un texte canonique), Gautama décrit son éducation avec ses propres mots :

On a pris soin de moi avec tendresse,... suprêmement bien, infiniment bien. Au palais de mon père, des bassins de lotus ont été construits pour moi, dans un endroit pour les fleurs de lotus bleues, dans un endroit pour les fleurs de lotus blanches, et dans un endroit pour les fleurs de lotus rouges, fleurissant pour mon saké.... Jour et nuit, une ombrelle blanche me couvrait, afin que je ne sois pas troublé par le froid, la chaleur, la poussière, la paille ou la rosée. J'habitais trois palais,... dans l'un, pendant le froid, dans l'autre, pendant l'été, et dans le troisième, pendant la saison des pluies. Dans le palais de la saison des pluies, entouré de musiciens, de chanteurs et de danseuses, pendant quatre mois, je ne suis pas descendu du palais....[1]

À seize ans, après avoir prouvé son habileté dans un concours d'armes, le prince Siddhartha épousa sa belle cousine Yasodhara. Il devient bientôt pensif et préoccupé, mais le tournant de sa vie ne se produit qu'à l'âge de vingt-neuf ans, lorsqu'il entreprend quatre voyages qui lui présentent tour à tour les quatre sites de passage.

Il rencontra d'abord un très vieil homme, gris et décrépit, s'appuyant sur un bâton ; ensuite, un homme pitoyable, rongé par la maladie, gisant sur la route ; troisièmement, un cadavre ; et quatrièmement, un moine à la robe jaune, au crâne rasé et portant un bol de mendicité. Très ému de compassion par les trois premières visions, il réalisa que la vie était soumise à la vieillesse, à la maladie et à la mort. La quatrième vision lui a signifié la possibilité de surmonter ces conditions et l'a incité à quitter le monde qu'il connaissait afin de trouver une solution à la souffrance.

Le renoncement de Bouddha", Nicholas Chevalier (1884)

Ascétisme

En rentrant au palais, il apprit la naissance de son fils, qu'il nomma Rahula, ou "obstacle". Cette nuit-là, il ordonne à son aurige de seller son cheval préféré, Kanthaka. Avant de quitter la ville, il se rendit dans la chambre à coucher pour jeter un coup d'œil d'adieu à sa femme et à son fils endormis. Il chevauche ensuite toute la nuit et, à l'aube, prend l'apparence d'un ascète, échangeant ses vêtements avec son char, qu'il renvoie au palais de son père.

C'est ainsi que Gautama commença sa vie de moine errant. Il se mit immédiatement en quête des maîtres les plus érudits de l'époque pour qu'ils l'instruisent dans la vérité, maîtrisant rapidement tout ce qu'ils lui enseignaient. Insatisfait et inquiet, il décida de trouver une vérité permanente, imperméable aux illusions du monde.

Voyageant à travers le pays de Magadha, il fut remarqué pour son beau visage et sa noble stature. Il arriva dans un village appelé Senanigama, près d'Uruvela, où il fut rejoint par un groupe de cinq ascètes, parmi lesquels se trouvait Kondañña, le brahmane qui avait prédit sa bouddhéité.

C'est là que, pendant près de six ans, Gautama s'adonna à de sévères austérités, qui sont consignées dans ses propres mots dans le Majjhima Nikāya :

En raison de ce manque de nourriture, tous mes membres devinrent comme des lianes flétries aux articulations nouées ;... les pupilles de mes yeux apparurent enfoncées dans leurs orbites comme l'eau apparaît brillante au fond d'un puits profond ;... la peau de mon ventre en vint à s'attacher à mon os dorsal....[2]

Suite à ces terribles mortifications corporelles, Gautama devint si faible qu'il s'évanouit un jour et fut cru mort. Certains récits décrivent comment un berger le trouva effondré et le guérit avec des gouttes de lait chaud. D'autres affirment que ce furent les devas, ou dieux, qui le ranimèrent. Conscient de la futilité de l'ascétisme, Gautama abandonna ses austérités pour rechercher sa propre voie vers l'illumination, sur quoi ses cinq compagnons le rejetèrent et l'abandonnèrent.

L'arbre Bo

Le temple de la Mahabodhi à Bodhgaya, en Inde. L'arbre sous lequel le Bouddha a atteint l'illumination se trouve à gauche.

Un jour, Sujata, la fille d'un villageois, le nourrit d'un riche lait de riz — "un repas si merveilleux ... que notre Seigneur sentit la force et la vie revenir comme si les nuits de veille et les jours de jeûne s'étaient écoulés en rêve."[3] Il se mit alors en route, seul, vers l'arbre Bo (abréviation de bodhi, ou illumination) à un endroit aujourd'hui appelé Buddh Gaya, ou Bodh Gaya, où il fit le vœu de rester jusqu'à ce qu'il soit pleinement illuminé. C'est pourquoi ce lieu est connu sous le nom de "tache immuable".

À ce moment-là, Mara, le Malin, tenta d'empêcher son illumination et le confronta à des tentations de la même manière que Satan testa Jésus lors de son jeûne dans le désert.

Le Dhammapada rapporte les paroles de Mara, alors qu'elle assaillait Gautama : "Homme maigre, souffrant, malchanceux, vis ! La mort est ta voisine. La mort a mille mains, tu n'en as que deux. Vis ! Vis et fais le bien, vis saintement et goûte la récompense. Pourquoi luttes-tu ? C'est difficile de lutter, c'est difficile de lutter tout le temps".

Inébranlable, il s'assit sous l'arbre Bo tandis que Mara poursuivait son attaque — d'abord sous la forme du désir, faisant défiler devant lui des déesses voluptueuses et des danseuses, puis sous l'apparence de la mort, l'assaillant d'ouragans, de pluies torrentielles, de rochers enflammés, de boue bouillante, de soldats et de bêtes féroces — et enfin de l'obscurité. Pourtant, Gautama restait impassible

En dernier recours, la tentatrice lui a contesté le droit de faire ce qu'il faisait. Siddhartha tapa alors sur la terre,[4] et la terre tonna sa réponse : "Je vous en rends témoignage". Tous les hôtes du Seigneur et les êtres élémentaires répondirent et acclamèrent son droit à poursuivre l'éveil du Bouddha, après quoi Mara s'enfuit.

Après avoir vaincu Mara, Gautama passa le reste de la nuit en profonde méditation sous l'arbre, se remémorant ses anciennes incarnations, atteignant "l'œil divin surhumain" (la capacité de voir la disparition et la renaissance des êtres), et réalisant les Quatre Nobles Vérités. Selon ses propres mots : "L'ignorance a été dissipée, la connaissance est apparue. Les ténèbres ont été dissipées, la lumière est apparue."[5]

Il atteignit ainsi l'Éveil, ou l'Illumination, durant la nuit de pleine lune du mois de mai, vers l'an 528 av. J.-C. Son être fut transformé et il devint le Bouddha.

L'événement était d'une importance cosmique. Toutes les choses créées ont rempli l'air du matin de leurs réjouissances et la terre a tremblé de six façons avec émerveillement. Dix mille galaxies frémirent d'admiration tandis que des lotus fleurissaient sur chaque arbre, transformant l'univers entier en "un bouquet de fleurs envoyées en tourbillonnant dans les airs"[6]

Pendant quarante-neuf jours au total, il fut plongé dans le ravissement, après quoi il se tourna à nouveau vers le monde. Il trouva Mara qui l'attendait avec une dernière tentation : "Comment traduire ton expérience en mots ? Retourne au Nirvana. N'essaie pas de transmettre ton message au monde, car personne ne le comprendra. Reste dans la félicité !" Mais Bouddha répondit : "Il y en aura qui comprendront" et Mara disparut de sa vie pour toujours.

Enseignement

Sarnath, Inde, le stupa marquant le site où Gautama a prêché son premier sermon

Se demandant à qui il devait d'abord enseigner, il décida de retourner auprès des cinq ascètes qui l'avaient quitté. Il entreprit un voyage de plus de cent kilomètres jusqu'à Bénarès et prononça devant ses anciens compagnons son premier sermon, connu sous le nom de "Dhammacakkappavattana-sutta", ou "Mise en mouvement de la roue de la vérité".

À la fin du sermon, dans lequel il révéla la découverte clé de sa quête — les Quatre Nobles Vérités, l'Octuple Sentier et la Voie du Milieu — il accepta les cinq moines comme premiers membres de son ordre. Kondañña fut le premier à saisir l'enseignement.

Pendant quarante-cinq ans, Gautama a parcouru les routes poussiéreuses de l'Inde, prêchant le "Dhamma" (doctrine universelle), qui a conduit à la fondation du bouddhisme. Il établit la sangha (communauté) qui compte bientôt plus de mille deux cents fidèles, dont toute sa famille — son père, sa tante, sa femme et son fils. Lorsque les gens l'interrogèrent sur son identité, il répondit : "Je suis éveillé" — d'où le nom de Bouddha, qui signifie "l'Éveillé" ou "l'Éveillant".

Passage

À l'âge de quatre-vingts ans, Gautama tomba gravement malade et faillit mourir, mais il se ranima, pensant qu'il n'était pas juste de mourir sans préparer ses disciples. À force de détermination, il se rétablit et ordonna à Ananda, son cousin et proche disciple, que l'ordre devrait vivre en se faisant une île, en devenant son propre refuge et en faisant du Dhamma son île, son refuge pour toujours.

Après avoir annoncé qu'il mourrait dans trois mois, il traversa plusieurs villages, puis séjourna chez Cunda, l'orfèvre, l'un de ses fidèles. Selon la tradition, Cunda invita Gautama à déguster le "sukara-maddava", un plat qu'il avait préparé à son insu avec des champignons empoisonnés. Après le repas, Gautama tomba violemment malade, mais supporta sa douleur sans se plaindre.

Son seul souci était de consoler Cunda, qui pouvait se sentir responsable de sa mort. Il demanda donc avec compassion à Ananda de dire à Cunda que de tous les repas qu'il avait mangés, seuls deux se distinguaient comme des bénédictions spéciales — le repas servi par Sujata avant son illumination, et la nourriture de Cunda qui ouvrit les portes de sa transition.

Il mourut pendant la pleine lune de mai, vers 483 av. J.-C., après avoir de nouveau conseillé à Ananda que le « Dhamma » – la Vérité – devait être son maître et avoir rappelé aux moines le caractère transitoire de toutes les choses conditionnées.

Héritage

Après la disparition de Gautama, le bouddhisme a commencé à se développer dans deux directions principales, conduisant à l'établissement des écoles hinayana ("petit véhicule") et mahayana ("grand véhicule") du bouddhisme, à partir desquelles de nombreux autres sous-groupes ont évolué.

Les adeptes de l'école Hinayana pensent que leurs enseignements représentent la doctrine bouddhiste originale enseignée par Gautama, et se réfèrent donc à leur voie comme le Theravada, ou "Voie des Anciens".

La conception traditionnelle du Theravadin est centrée sur le mode de vie monastique et met l'accent sur la nécessité du sacrifice de soi et de l'illumination individuelle afin d'aider les autres. Leur but est de devenir un arhat — disciple parfait — et d'entrer dans le Nirvana.

Les mahayanistes, qui estiment que la stricte observance des préceptes par les theravadins s'écarte du véritable esprit du Bouddha, se concentrent davantage sur l'imitation de la vie du Bouddha, en mettant l'accent sur les bonnes œuvres et la compassion envers les autres dans le processus d'obtention de l'illumination. Les Theravadins, quant à eux, affirment que les Mahayanistes ont pollué le courant pur de l'enseignement de Gautama en y incorporant des doctrines et des interprétations plus libérales.

Les mahayanistes considèrent leur école comme le "plus grand véhicule", car elle offre davantage au profane. Leur idéal est de devenir un bodhisattva — quelqu'un qui atteint le Nirvana mais retourne volontairement dans le monde pour aider les autres à atteindre le même but.

L'œuvre de Gautama aujourd'hui

Gautama Bouddha fut le premier initié à servir sous les ordres de Sanat Kumara, et donc celui qui fut choisi pour lui succéder dans la fonction de Seigneur du Monde. Le 1er janvier 1956, Sanat Kumara déposa son manteau sur le Seigneur Gautama, après quoi le Chela par excellence du Grand Gourou devint également le hiérarque de Shamballa.

Gautama Bouddha occupe aujourd'hui la fonction de Seigneur du Monde (appelé "Dieu de la Terre" dans Apocalypse 11:4). Au niveau intérieur, il entretient la triple flamme de vie, l'étincelle divine, pour tous les enfants de Dieu sur terre.

Parlant du grand service que le Seigneur Gautama rend à toute vie dans sa fonction de Seigneur du Monde, Maitreya déclara le 1er janvier 1986 :

Le Seigneur du Monde soutient la triple flamme dans les évolutions de la terre par une lumière filigrane qui part de son cœur. Il s'agit donc du contournement du karma de l'individu par lequel il y a tant de noirceur autour du cœur que les artères spirituelles ou le cordon de cristal ont été coupés.

La comparaison est faite lorsque les artères du corps physique sont tellement obstruées par des débris que la zone d'écoulement du sang est considérablement réduite jusqu'à devenir insuffisante et que le cœur ne peut plus maintenir la vie. Ceci est comparable à ce qui s'est passé sur le plan astral.

Sanat Kumara est donc venu sur terre pour entretenir la flamme de la vie. De même, Gautama Bouddha entretient cette triple flamme à Shamballa, et il fait partie de chaque cœur vivant. Par conséquent, lorsque le disciple s'approche de la Voie, il comprend que son but est de parvenir à l'endroit où la triple flamme est suffisamment développée ici-bas dans son propre cœur pour que, avec ou sans le filigrane du cœur du Bouddha Gautama, il soit capable de maintenir la vie, l'âme, la conscience et le chemin initiatique.

Bien-aimés, cette étape est en soi un accomplissement que peu de gens sur cette planète ont atteint. Vous n'avez aucune idée de ce que vous ressentiriez, de ce que vous seriez ou de ce que vous feriez si Gautama Bouddha vous retirait le soutien du filigrane et l'élan des battements de son propre cœur et de sa triple flamme. La plupart des gens, en particulier les jeunes, ne prennent pas en considération la source de la vie qu'ils expérimentent dans l'exubérance et la joie.

De ce don, Gautama lui-même a dit le 31 décembre 1983 :

Je suis très observateur. Je vous observe par le contact de ma flamme à travers le fil — contact que je maintiens avec la triple flamme de votre cœur — la soutenant comme je le fais jusqu'à ce que vous passiez du chakra du siège de l'âme au cœur même des cœurs [la chambre secrète du cœur], et que vous soyez vous-même capable, par accomplissement, de soutenir cette flamme et sa brûlure dans cette octave.

Quelqu'un ici s'est-il déjà souvenu avoir allumé sa propre triple flamme à la naissance ? Quelqu'un ici s'est-il déjà souvenu d'avoir entretenu son feu ou de l'avoir maintenu allumé ? Cœurs bien-aimés, reconnaissez que les actes d'amour, de bravoure, d'honneur et d'altruisme contribuent sûrement à cette flamme. Mais une puissance et une source supérieures entretiennent cette flamme jusqu'à ce que vous ne fassiez plus qu'un avec cette puissance supérieure — votre propre Soi-Christ.

Par conséquent, tous reçoivent l'impulsion de la flamme de mon cœur et de mon élan. Et comme cette lumière me traverse depuis la Divinité, je perçois beaucoup de choses sur vous et votre vie quotidienne que vous pourriez penser hors de portée d'un Seigneur du Monde, qui doit être, en effet, très occupé.

Eh bien, en effet, je le suis ! Mais je ne suis jamais trop occupé pour remarquer les éléments du Chemin présentés par les parents, dans les familles et les communautés et dans les salles de classe partout dans le monde. Car je me fais un devoir de veiller à ce qu'un élément du chemin d'initiation, se dirigeant vers le cœur de Jésus et de Maitreya, fasse partie de la vie de chaque enfant qui grandit.

Retraites

Article principal: Shamballa

Article principal: Shamballa occidental

Bouddha Gautama est le parrain de l'Université du Sommet et le hiérarque de Shamballa, la retraite éthérique du Seigneur du Monde située dans le désert de Gobi.

En 1981, Gautama établit une extension de cette retraite, appelée Shamballa occidental, dans l'octave éthérique au-dessus du Cœur de la retraite intérieure au Royal Teton Ranch.

La note dominant de Gautama Bouddha est "Clair de lune et roses". L'"Ode à la joie" de la neuvième symphonie de Beethoven nous permet également de nous accorder directement avec le Seigneur du monde.

Voir aussi

Tathagata

Sources

Perles de sagesse, vol. 26, num. 4, 23 janvier 1983.

Perles de sagesse, vol. 32, num. 30, 23 juillet 1989.

Mark L. Prophet and Elizabeth Clare Prophet, The Masters and Their Retreats, “Gautama Buddha” (Les maîtres et leurs retraites), "Bouddha Gautama."

Elizabeth Clare Prophet, Inner Perspectives (Perspectives intérieures).

  1. Helena Roerich, Foundations of Buddhism (Les fondements du bouddhisme) (New York : Agni Yoga Society, 1971), p. 7.
  2. Encyclopaedia Britannica, 15e édition, "Bouddha."
  3. Edwin Arnold, The Light of Asia (La lumière de l'Asie) (Londres : Kegan Paul, Trench, Trubner & Co, 1930), p. 96.
  4. avec le "mudra touchant la terre" — la main gauche retournée sur les genoux, la main droite pointée vers le bas, touchant la terre.
  5. Edward J. Thomas, The Life of Buddha as Legend and History (La vie du Bouddha en tant que légende et histoire) (New York : Alfred A. Knopf, 1927), pp. 66-68, cité dans Clarence H. Hamilton, ed, Buddhism : A Religion of Infinite Compassion (Le bouddhisme : Une religion de compassion infinie) (New York : The Liberal Arts Press, 1952), pp. 22-23.
  6. Huston Smith, The Religions of Man (Les religions de l'homme) (New York : Harper & Row, Harper Colophon Books, 1958), p. 84.