Translations:Saint Germain/96/fr: Difference between revisions

From TSL Encyclopedia
(Created page with "Son disciple Marinus a écrit : « Il ne semblait pas être sans inspiration divine, car de la sagesse de sa bouche sortait des mots semblables à une neige épaisse qui tombe...")
 
No edit summary
 
(2 intermediate revisions by 2 users not shown)
Line 1: Line 1:
Son disciple Marinus a écrit : « Il ne semblait pas être sans inspiration divine, car de la sagesse de sa bouche sortait des mots semblables à une neige épaisse qui tombe ; de sorte que ses yeux émettaient un rayonnement lumineux, et le reste de son visage transmettait l’illumination divine ».(6)
Son disciple Marinus a écrit : « Il ne semblait pas être sans inspiration divine, car de la sagesse de sa bouche sortait des mots semblables à une neige épaisse qui tombe ; de sorte que ses yeux émettaient un rayonnement lumineux, et le reste de son visage transmettait l’illumination divine ».<ref>Victor Cousin and Thomas Taylor, trans., ''Two Treatises of Proclus, The Platonic Successor'' (London: n.p., 1833), p. vi.</ref>

Latest revision as of 18:20, 6 September 2022

Information about message (contribute)
This message has no documentation. If you know where or how this message is used, you can help other translators by adding documentation to this message.
Message definition (Saint Germain)
Proclus acknowledged that his enlightenment and philosophy came from above—indeed he believed himself to be one through whom divine revelation reached mankind. “He did not appear to be without divine inspiration,” his disciple Marinus wrote, “for he produced from his wise mouth words similar to the most thick falling snow; so that his eyes emitted a bright radiance, and the rest of his countenance participated of divine illumination.”<ref>Victor Cousin and Thomas Taylor, trans., ''Two Treatises of Proclus, The Platonic Successor'' (London: n.p., 1833), p. vi.</ref>

Son disciple Marinus a écrit : « Il ne semblait pas être sans inspiration divine, car de la sagesse de sa bouche sortait des mots semblables à une neige épaisse qui tombe ; de sorte que ses yeux émettaient un rayonnement lumineux, et le reste de son visage transmettait l’illumination divine ».[1]

  1. Victor Cousin and Thomas Taylor, trans., Two Treatises of Proclus, The Platonic Successor (London: n.p., 1833), p. vi.