Democracy/fr: Difference between revisions

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''In a lecture on July 6, 1980, titled “I Believe in the United States of America,” [[Elizabeth Clare Prophet]] gave the following commentary on democracy. While the form of government of the United States is usually described in general terms as a democracy, more precisely it would be described as “a democracy in a republic.”<ref>From The American’s Creed, by William Tyler Page.</ref>''
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''Dans une conférence donnée le 6 juillet 1980, intitulée « Je crois aux États-Unis d'Amérique », [[Special:MyLanguage/Elizabeth Clare Prophet|Elizabeth Clare Prophet]] a fait le commentaire suivant sur la démocratie. Si le régime politique des États-Unis est généralement décrit en termes généraux comme une démocratie, il serait plus précis de le qualifier de « démocratie dans une république ».<ref>From The American’s Creed, by William Tyler (Page Extrait de Le credo américain...).</ref>''


Most Americans believe that the United States is a democracy. It is not. Most would be surprised to know that at the time of the Revolutionary War, “democracy” denoted the lowest form of government and was associated with civil disorder and the early assumption of power by a dictator. 


John Adams spoke for many of the early patriots when he said,  
La plupart des Américains pensent que les États-Unis sont une démocratie. Ce n'est pas le cas. La plupart seraient surpris d'apprendre qu'à l'époque de la guerre d'indépendance, le terme « démocratie » désignait la forme de gouvernement la plus basse et était associé au désordre civil et à la prise de pouvoir précoce par un dictateur. 


<blockquote>I [...] was always for a Free Republic; not a democracy, which is as arbitrary Tyrannical bloody cruel and intolerable a government as that of Phalaris with his Bull<ref>Phalaris was the ruler of Akragas (now Agrigento) in Sicily, from approximately 570 to 554 <small>B</small>.<small>C</small>. He was a tyrant renonwned for his excessive cruelties, which included roasting his victims alive inside the body of a brazen bull.</ref> is represented to have been. Robespierre is a perfect exemplification of the Character of the first Bell Wether in a Democracy.<ref>Letter from John Adams to Mercy Otis Warren, July 30, 1807. [https://founders.archives.gov/documents/Adams/99-02-02-5199 https://founders.archives.gov/documents/Adams/99-02-02-5199]</ref></blockquote>
John Adams s'est fait le porte-parole de nombreux patriotes des débuts lorsqu'il a déclaré :  


Why were they so opposed to democracy? Democracy comes from the Greek word for “the people,''demos''. It connotes a rule based on the majority decisions with full participation of all the people.
<blockquote>J'ai [...] toujours été en faveur d'une république libre, et non d'une démocratie, qui est un gouvernement aussi arbitraire, tyrannique, cruel et intolérable que celui de Phalaris et de son taureau<ref>Phalaris fut le souverain d'Akragas (aujourd'hui Agrigente) en Sicile, de 570 à 554 av. <small>J-</small>.<small>C</small>. C'était un tyran réputé pour ses cruautés excessives, qui consistaient notamment à faire rôtir ses victimes vivantes à l'intérieur du corps d'un taureau de bronze.</ref>. Robespierre est un parfait exemple du caractère du premier meneur dans une démocratie. <ref>Letter from John Adams to Mercy Otis Warren (Lettre de John Adams à Mercy Otis Warren), 30 juillet 1807. [https://founders.archives.gov/documents/Adams/99-02-02-5199 https://founders.archives.gov/documents/Adams/99-02-02-5199]</ref></blockquote>


Whereas this sounds enchantingly fair and sensibly practical, the system has never worked. It didn’t work in the Greek city-states, and this our forebears knew. A pure democracy is unwieldy—250 million people cannot govern themselves. How can millions of people vote on everything and every issue, or even inform themselves sufficiently to cast the proper vote?  
Pourquoi étaient-ils si opposés à la démocratie ? Le mot « démocratie » vient du grec « demos », qui signifie « peuple ». Il désigne un régime fondé sur les décisions prises à la majorité, avec la pleine participation de tous les citoyens.   


The framers recognized that a pure democracy was really nothing more than a crowd, and crowds are easily manipulated by demagogues, i.e., the [[Nephilim]], the [[fallen one]]s. That’s why these fallen ones push democracy. In a pure democracy, there is a natural tendency for a dictator to manipulate the people and then to assume power. One of the reasons for this is that the people really don’t want the responsibility of self-government. They’re always ready to follow somebody who is going to say, “I’ll do it for you.”
Bien que cela semble merveilleusement juste et raisonnablement pratique, ce système n'a jamais fonctionné. Il n'a pas fonctionné dans les cités-États grecques, et nos ancêtres le savaient. Une démocratie pure est difficile à gérer : 250 millions de personnes ne peuvent pas se gouverner elles-mêmes. Comment des millions de personnes peuvent-elles voter sur tout et n'importe quoi, ou même s'informer suffisamment pour voter correctement ? 


Today many of the worst totalitarian states are democracies—people’s democracies, so-called. They are [[Communism|Communist]] states wherein by doctrine, the government exists for and draws its power from the proletariat, or the workers. In practice, however, they are dictatorships which pay lip service to the people and obtain their power from the barrel of a gun. The Soviet leaders tell the people of Russia that Communism is the rule of the people. In America, our leaders tell us the same. But in fact, a power elite is ruling both Mother Russia and Mother America.
Les fondateurs ont reconnu qu'une démocratie pure n'était en réalité rien d'autre qu'une foule, et que les foules sont facilement manipulées par les démagogues, c'est-à-dire les [[Special:MyLanguage/Nephilim|Nephilim]], les [[Special:MyLanguage/fallen one|déchus]]. C'est pourquoi ces déchus encouragent la démocratie. Dans une démocratie pure, il existe une tendance naturelle pour un dictateur à manipuler le peuple, puis à prendre le pouvoir. L'une des raisons à cela est que le peuple ne veut pas vraiment assumer la responsabilité de l'autogouvernance. Il est toujours prêt à suivre quelqu'un qui lui dira : « Je le ferai pour vous. »


The only democracy that will ever work is a democracy in a republic, which is simply a representative democracy. We all can’t govern together, so we appoint representatives; we vote for them. Like a democracy, a republic is a government established with power vested in the people, but unlike a democracy, the power stays with the people. This is accomplished by the election of representatives, who arbitrate the interests of the people in Congress with other representatives. By incorporating this hierarchical structure, a balance is struck between a tyranny of the few—which is an oligarchy—and a tyranny of the many—a democracy.  
Aujourd'hui, bon nombre des pires États totalitaires sont des démocraties, des démocraties dites populaires. Ce sont des États communistes dans lesquels, selon la doctrine, le gouvernement existe pour le prolétariat, ou les travailleurs, et tire son pouvoir de ceux-ci. Dans la pratique, cependant, ce sont des dictatures qui font semblant de se soucier du peuple et tirent leur pouvoir du canon des fusils. Les dirigeants soviétiques disent au peuple russe que le communisme est le gouvernement du peuple. En Amérique, nos dirigeants nous disent la même chose. Mais en réalité, une élite au pouvoir dirige à la fois la mère Russie et la mère Amérique.


The people retain the power because they can recall the representatives from office who do not do what they promised to do, or what they were directed to do when they were sent to office. In a republic, the people retain the power; in a democracy, they get taken over.
La seule démocratie qui puisse fonctionner est une démocratie dans une république, qui est simplement une démocratie représentative. Nous ne pouvons pas tous gouverner ensemble, alors nous désignons des représentants ; nous votons pour eux. Tout comme une démocratie, une république est un gouvernement établi avec un pouvoir dévolu au peuple, mais contrairement à une démocratie, le pouvoir reste entre les mains du peuple. Cela est rendu possible grâce à l'élection de représentants, qui arbitrent les intérêts du peuple au Congrès avec d'autres représentants. En intégrant cette structure hiérarchique, un équilibre est trouvé entre la tyrannie d'une minorité, qui est une oligarchie, et la tyrannie de la majorité, qui est une démocratie.  


To the Founding Fathers of America, a republican government meant the delegation of powers by the people to a small number of citizens “whose wisdom may best discern the true interest of their country, and whose patriotism and love of justice will be least likely to sacrifice it to temporary or partial consideration.”<ref>James Madison, The Federalist Papers, no. 10.</ref>
Le peuple conserve le pouvoir car il peut révoquer les représentants qui ne tiennent pas leurs promesses ou qui ne respectent pas les directives qui leur ont été données lorsqu'ils ont été élus. Dans une république, le peuple conserve le pouvoir ; dans une démocratie, il se fait prendre le pouvoir.


When each individual follows the path of Christhood, then each individual has access to the inspiration of Almighty God. That is when a democracy in a republic works—when the individual exercises his franchise. And it only works if he is exercising the franchise of his [[Christ consciousness]]—the freedom to elect to be a [[son of God]].
Pour les pères fondateurs de l'Amérique, un gouvernement républicain signifiait la délégation des pouvoirs par le peuple à un petit nombre de citoyens « dont la sagesse permettait le mieux de discerner les véritables intérêts de leur pays, et dont le patriotisme et l'amour de la justice étaient les moins susceptibles de les sacrifier à des considérations temporaires ou partielles ».<ref>James Madison, The Federalist Papers, n° 10.</ref>


== See also ==
Lorsque chaque individu suit la voie du Christ, il a alors accès à l'inspiration de Dieu Tout-Puissant. C'est alors que la démocratie dans une république fonctionne, lorsque l'individu exerce son droit de vote. Et cela ne fonctionne que s'il exerce le droit de vote de sa [[Special:MyLanguage/Christ consciousness|conscience du Christ]], la liberté de choisir d'être un [[Special:MyLanguage/son of God|fils de Dieu]].


[[God-government]]
<span id="See_also"></span>
== Voir aussi ==
 
[[Special:MyLanguage/God-government|Gouvernement divin]]


== Sources ==
== Sources ==


{{IBelieve}}
{{IBelieve}} (''Je crois aux États-Unis d'Amérique...'' [DVD])


<references />
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Dans une conférence donnée le 6 juillet 1980, intitulée « Je crois aux États-Unis d'Amérique », Elizabeth Clare Prophet a fait le commentaire suivant sur la démocratie. Si le régime politique des États-Unis est généralement décrit en termes généraux comme une démocratie, il serait plus précis de le qualifier de « démocratie dans une république ».[1]


La plupart des Américains pensent que les États-Unis sont une démocratie. Ce n'est pas le cas. La plupart seraient surpris d'apprendre qu'à l'époque de la guerre d'indépendance, le terme « démocratie » désignait la forme de gouvernement la plus basse et était associé au désordre civil et à la prise de pouvoir précoce par un dictateur.

John Adams s'est fait le porte-parole de nombreux patriotes des débuts lorsqu'il a déclaré :

J'ai [...] toujours été en faveur d'une république libre, et non d'une démocratie, qui est un gouvernement aussi arbitraire, tyrannique, cruel et intolérable que celui de Phalaris et de son taureau[2]. Robespierre est un parfait exemple du caractère du premier meneur dans une démocratie. [3]

Pourquoi étaient-ils si opposés à la démocratie ? Le mot « démocratie » vient du grec « demos », qui signifie « peuple ». Il désigne un régime fondé sur les décisions prises à la majorité, avec la pleine participation de tous les citoyens.

Bien que cela semble merveilleusement juste et raisonnablement pratique, ce système n'a jamais fonctionné. Il n'a pas fonctionné dans les cités-États grecques, et nos ancêtres le savaient. Une démocratie pure est difficile à gérer : 250 millions de personnes ne peuvent pas se gouverner elles-mêmes. Comment des millions de personnes peuvent-elles voter sur tout et n'importe quoi, ou même s'informer suffisamment pour voter correctement ?

Les fondateurs ont reconnu qu'une démocratie pure n'était en réalité rien d'autre qu'une foule, et que les foules sont facilement manipulées par les démagogues, c'est-à-dire les Nephilim, les déchus. C'est pourquoi ces déchus encouragent la démocratie. Dans une démocratie pure, il existe une tendance naturelle pour un dictateur à manipuler le peuple, puis à prendre le pouvoir. L'une des raisons à cela est que le peuple ne veut pas vraiment assumer la responsabilité de l'autogouvernance. Il est toujours prêt à suivre quelqu'un qui lui dira : « Je le ferai pour vous. »

Aujourd'hui, bon nombre des pires États totalitaires sont des démocraties, des démocraties dites populaires. Ce sont des États communistes dans lesquels, selon la doctrine, le gouvernement existe pour le prolétariat, ou les travailleurs, et tire son pouvoir de ceux-ci. Dans la pratique, cependant, ce sont des dictatures qui font semblant de se soucier du peuple et tirent leur pouvoir du canon des fusils. Les dirigeants soviétiques disent au peuple russe que le communisme est le gouvernement du peuple. En Amérique, nos dirigeants nous disent la même chose. Mais en réalité, une élite au pouvoir dirige à la fois la mère Russie et la mère Amérique.

La seule démocratie qui puisse fonctionner est une démocratie dans une république, qui est simplement une démocratie représentative. Nous ne pouvons pas tous gouverner ensemble, alors nous désignons des représentants ; nous votons pour eux. Tout comme une démocratie, une république est un gouvernement établi avec un pouvoir dévolu au peuple, mais contrairement à une démocratie, le pouvoir reste entre les mains du peuple. Cela est rendu possible grâce à l'élection de représentants, qui arbitrent les intérêts du peuple au Congrès avec d'autres représentants. En intégrant cette structure hiérarchique, un équilibre est trouvé entre la tyrannie d'une minorité, qui est une oligarchie, et la tyrannie de la majorité, qui est une démocratie.

Le peuple conserve le pouvoir car il peut révoquer les représentants qui ne tiennent pas leurs promesses ou qui ne respectent pas les directives qui leur ont été données lorsqu'ils ont été élus. Dans une république, le peuple conserve le pouvoir ; dans une démocratie, il se fait prendre le pouvoir.

Pour les pères fondateurs de l'Amérique, un gouvernement républicain signifiait la délégation des pouvoirs par le peuple à un petit nombre de citoyens « dont la sagesse permettait le mieux de discerner les véritables intérêts de leur pays, et dont le patriotisme et l'amour de la justice étaient les moins susceptibles de les sacrifier à des considérations temporaires ou partielles ».[4]

Lorsque chaque individu suit la voie du Christ, il a alors accès à l'inspiration de Dieu Tout-Puissant. C'est alors que la démocratie dans une république fonctionne, lorsque l'individu exerce son droit de vote. Et cela ne fonctionne que s'il exerce le droit de vote de sa conscience du Christ, la liberté de choisir d'être un fils de Dieu.

Voir aussi

Gouvernement divin

Sources

Elizabeth Clare Prophet, I Believe in the United States of America... [DVD] (Je crois aux États-Unis d'Amérique... [DVD])

  1. From The American’s Creed, by William Tyler (Page Extrait de Le credo américain...).
  2. Phalaris fut le souverain d'Akragas (aujourd'hui Agrigente) en Sicile, de 570 à 554 av. J-.C. C'était un tyran réputé pour ses cruautés excessives, qui consistaient notamment à faire rôtir ses victimes vivantes à l'intérieur du corps d'un taureau de bronze.
  3. Letter from John Adams to Mercy Otis Warren (Lettre de John Adams à Mercy Otis Warren), 30 juillet 1807. https://founders.archives.gov/documents/Adams/99-02-02-5199
  4. James Madison, The Federalist Papers, n° 10.