Akbar the Great/fr: Difference between revisions
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À la fin de son règne, la paix et la prospérité qu'Akbar avait apportées à l'Inde furent perturbées par les intrigues de cour et les activités subversives de son fils, Jahangir. Lorsqu'il hérita du trône, Jahangir rejeta les réformes de son père, en particulier celles relatives à la tolérance religieuse, et l'empire s'effondra rapidement. Le fils et héritier de Jahangir, Shah Jahan, n'hérita que d'un petit royaume indiscipliné, mais conserva un grand amour pour l'héritage culturel de son grand-père. En tant que plus grand des bâtisseurs moghols, Shah Jahan offrit à l'Inde son monument le plus romantique, le Taj Mahal. | |||
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Abu'l-Fath Jalal ud-din Muhammad Akbar (1542-1605) est considéré comme le plus grand des empereurs moghols de l'Inde et comme le père de la tolérance religieuse. Il croyait être un souverain désigné par Dieu et que sa mission était d'unifier son empire. Selon l'historien de la cour Abul Fazl, toute la vie d'Akbar fut une quête de la Vérité. Il était l'incarnation du Maître Ascensionné El Morya.
Premières années
Akbar est né en 1542 à Umarkot. Au XVIe siècle, l'empire moghol de l'Inde avait été considérablement réduit par de féroces conquêtes étrangères jusqu'à ce qu'en 1556, seule la capitale, Delhi, subsiste lorsque Akbar Jalal ud-din Mohammed hérita du trône.

À peine âgé de quatorze ans lors de son accession au trône, le brillant jeune empereur Akbar entreprit de reconquérir son royaume. Il devint connu dans le monde entier sous le nom d'Akbar le Grand, le plus puissant des empereurs moghols. L'empereur Akbar se caractérisait par une endurance physique extraordinaire qui contribua à ses succès militaires exceptionnels : il pouvait parcourir 386 km en vingt-quatre heures pour surprendre et vaincre l'ennemi. Néanmoins, il lui fallut la majeure partie de son long règne (1556-1605) pour soumettre les princes rebelles du nord de l'Inde et assurer la paix en établissant des gouvernements provinciaux solides.
Akbar était doté d'un génie administratif. Il améliora l'efficacité commerciale en construisant des routes, en développant des systèmes de commercialisation avancés et en mettant en place des services postaux. Soucieux du bien-être de tous les peuples sous sa juridiction, Akbar abolit la jizya, l'impôt de capitation prélevé sur les non-musulmans, et accorda aux hindous des postes importants au sein du gouvernement. La nouvelle capitale, Fatehpur Sikri, devint rapidement un centre culturel florissant, plus grand que la ville de Londres à l'époque.
Akbar soutenait fortement l'art indien et, sous sa direction, plus d'une centaine d'ateliers ont été créés pour l'artisanat. L'empereur lui-même aimait beaucoup la musique et l'encourageait comme moyen de communication entre hindous et musulmans. Bien qu'analphabète, la bibliothèque de manuscrits illustrés d'Akbar était aussi célèbre que les plus belles collections d'Europe.
À la fin de son règne de cinquante ans, en 1605, le petit territoire dont il avait hérité était devenu un empire qui s'étendait de l'Hindu Kush au fleuve Godavari et du Bengale au Gujarat (l'actuel Bangladesh et la majeure partie du Népal, de l'Inde, du Pakistan et de l'Afghanistan). Grâce au génie militaire et au leadership énergique d'Akbar, l'empire moghol devint l'un des plus puissants au monde. Il mit en œuvre de nombreuses réformes administratives qui renforcèrent la structure gouvernementale, abolirent l'extorsion et centralisèrent le système financier. Bien qu'il ne sût ni lire ni écrire, Akbar conversait habilement avec les érudits et les hommes religieux et parraina une renaissance dans les arts et la littérature.

Tolérance religieuse
L'empereur était né musulman, mais il respectait la religion et la culture hindoues et offrait aux hindous comme aux musulmans les plus hautes fonctions au sein de son gouvernement. Il rassembla dans sa capitale des érudits des sectes musulmane et hindoue, des jaïns, des zoroastriens et des jésuites, où il fit construire en 1575 un ibadat khana, une « maison de culte », où les savants de toutes les religions pouvaient se réunir pour discuter de théologie et de philosophie. Afin de tenter de résoudre les discordes entre les nombreuses factions religieuses de son empire, et conscient des limites de chacune d'entre elles, il proposa que « nous devrions donc les réunir toutes en une seule, mais de telle manière qu'elles soient à la fois « une » et « toutes », avec le grand avantage de ne perdre ce qu'il y a de bon dans une religion sans perdre ce qu'il y a de meilleur dans une autre ». Les membres du conseil ne parvinrent toutefois pas à s'entendre et continuèrent à ne soutenir que leur propre religion.
En 1582, Akbar fonda sa propre religion, Din-i-Ilahi, « foi divine », ou Tauhid-i-Ilahi, « monothéisme divin », dont il était le chef spirituel. Comme le commente Abul Fazl, Akbar, en établissant les principes de la nouvelle religion, « s'empara de tout ce qui était bon dans toutes les religions... C'est véritablement un homme qui fait de la justice son guide dans la voie de la recherche et qui tire de chaque secte tout ce que la raison approuve ». Akbar n'exigeait toutefois pas de ses compatriotes qu'ils adhèrent à ses croyances, et la nouvelle religion d'Akbar comptait peu d'adeptes en dehors de sa cour.
Les dernières années
À la fin de son règne, la paix et la prospérité qu'Akbar avait apportées à l'Inde furent perturbées par les intrigues de cour et les activités subversives de son fils, Jahangir. Lorsqu'il hérita du trône, Jahangir rejeta les réformes de son père, en particulier celles relatives à la tolérance religieuse, et l'empire s'effondra rapidement. Le fils et héritier de Jahangir, Shah Jahan, n'hérita que d'un petit royaume indiscipliné, mais conserva un grand amour pour l'héritage culturel de son grand-père. En tant que plus grand des bâtisseurs moghols, Shah Jahan offrit à l'Inde son monument le plus romantique, le Taj Mahal.
The universal religion
In 1985 El Morya spoke of his embodiment as Akbar and his dream of a universal religion:
Beloved sons and daughters, I remember well and I would remind you of my incarnation as Akbar. So Islam, the religion of my birth—Hinduism, the religion of my nation. So, juxtaposed midst all of this, I did perceive that all religions were found wanting. Therefore I assembled the representatives of all faiths and sects within the larger religions, that they might deliberate, that they might also convince me of their way. I had purposed in my heart to lead each group to the point of the realization of the quintessence of the Light of the Child whom I had seen at his birth hundreds of years before.
Thus, the memory of the Christ Child impelled me to draw others to the divine resolution of the Light and to the dissolution of the barriers to the free expression of that Light. And so it came to pass that I did point out to each group the limitations that made each version of religion incomplete. And I did propose to take the best from all and leave the rest and arrive at that doctrine upon which all could agree as the basis of the new world religion. But they objected and objected vehemently. And therefore I was left with a band of disciples, a circle of followers of my own court, who recognized God as Light and saw me not only as their secular leader but as their spiritual head.
Thus, you see, I came into the office of Guru through the acceptance and love of those who respected the power and the will of God they saw within me and my devotion to the integrity and the honor of that will. Thus, all religions were free to practice in the realm and any were free to be a part of my circle.
I bring this to your attention because as you read the life of Akbar, you may find yourself in my family and circle of the court, certainly harking back to the court of Camelot[1] and the chelas of the will of God who have been with me for so many centuries.[2]
See also
El Morya, “The Universal Religion,” Pearls of Wisdom, vol. 28, no. 51, December 22, 1985.
For more information
Mark L. Prophet and Elizabeth Clare Prophet, Lords of the Seven Rays.
Lecture by Elizabeth Clare Prophet, “Akbar the Great: The Shadow of God on Earth,” August 8, 1993. Available from Ascended Master Library.
Sources
El Morya, “The Universal Religion,” Pearls of Wisdom, vol. 28, no. 51, December 22, 1985.
El Morya’s Christmas Letter 1994
- ↑ El Morya was embodied as King Arthur.
- ↑ El Morya, “The Universal Religion,” Pearls of Wisdom, vol. 28, no. 51, December 22, 1985.